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New York - Illinois
Sur les traces des gangsters américains
La première cathédrale jamais construite à New York date de 1809 et, au-delà d’une fascinante architecture gothique, son passé fut le théâtre de plusieurs scènes de films noirs célèbres. Les amateurs de cinéma reconnaitront notamment le bénitier de la scène du baptême dans Le Parrain, ou le cimetière qui servit au film de Martin Scorsese Mean Streets.
Sur les traces des gangsters américains
Non seulement le homard et le steak de Spark’s Steakhouse sont à tomber par terre, mais le meilleur grill de Manhattan a lui aussi tenu un rôle dans l’histoire des gangs newyorkais. En effet, c’est devant l’entrée de ce fameux restaurant que les chef et sous-chef de la mafia des Gambino, Paul Castellano et Thomas Bilotti, furent assassinés par le gangster italien John Gotti alors qu’ils sortaient de leur limousine en 1985. (Crédit photo: Leonard J DeFrancisci)
Sur les traces des gangsters américains
Si vous préférez les fresques de rue aux galeries d’art immaculées, vous ne serez pas déçu par votre séjour à New York. Commencez par le Graffiti Hall of Fame, qui désigne simplement les murs du terrain de jeu du Complexe Jackie Robinson, dans le quartier d’Harlem-est. Depuis 1980, ce mur sert de toile aux artistes plus ou moins adroits de la cité qui ne se privent pas d’y étaler leurs talents artistiques.
Sur les traces des gangsters américains
Lors de sa construction au début du XIXème siècle, la maison d’arrêt a révolutionné le monde pénitentiaire et de nombreuses personnalités (dont Charles Dickens) venaient y admirer les locaux ultra-modernes qui permettaient notamment de mettre les détenus à l’isolement. L’établissement a fermé ses portes en 1971 et n’est plus aujourd’hui qu’une attraction touristique où sont organisées des visites guidées. Le plus illustre de ses prisonniers fut le fameux Al Capone, mais la prison regorge de fantômes et de légendes à donner la chair de poule.
Sur les traces des gangsters américains
Il y a quelque chose de macabre, sinistre et un peu étrange à conserver toutes les anomalies anatomiques, organes avariés et mutations génétiques de tous les temps mais, soyons honnête, c’est aussi un sujet fascinant. Le musée fait partie du Collège des Physiciens de Philadelphie et on peut y observer les outils les plus sordides jamais utilisés par les médecins dans l’histoire, comme les instruments ayant servi aux amputations pendant la guerre civile, la collection de 139 crânes ou encore les tranches du cerveau d’Albert Einstein.
Sur les traces des gangsters américains
Le point de vue qu’on a depuis Elliott’s Bluff sur la ville de Pittsburgh et sur le confluent des deux rivières qui alimentent le fleuve Ohio est connu par les habitants de la région sous le nom de « the point ». C’est de là que les indiens d’Amérique faisaient le guet et surveillaient leur territoire. Aujourd’hui, la toile de fond formée par le « West End Overlook » (c’est-à-dire les gratte-ciels de Pittsburgh) est le rendez-vous des photographes et des touristes. Comme c’est souvent le cas, le parc et la vue sont particulièrement impressionnants au crépuscule.
Sur les traces des gangsters américains
Le funiculaire de Monongahela est le plus ancien des États-Unis à fonctionner en continu. Il relie les bords du fleuve Monongahela au quartier de Mt Washington, ce qui est non seulement un moyen plus rapide d’accéder de l’un à l’autre mais fait aussi de l’ascension un moment agréable pendant lequel on appréciera la vue sur le pont de Smithfield et sur le fleuve.
Sur les traces des gangsters américains
Plongez dans l’univers des Évadés sur le site du tournage du film et grâce à la plus grande maison d’arrêt au monde, un énorme château d’architecture gothique. L’objectif de ce superbe bâtiment victorien était à l’origine d’inspirer la rédemption des détenus, mais il a surtout encouragé les rumeurs concernant des apparitions paranormales. Aujourd’hui, vous pouvez choisir entre la visite historique et le parcours relatant les légendes et fantômes qui hantent les lieux. (Crédit photo: Mike Sharp)
Sur les traces des gangsters américains
En 1974, le gouvernement local autorisa, sur le site de Helltown (la ville diabolique), la construction d’une ville qui devait répondre au nom de Boston et qui devait marquer le centre d’un parc national. On ignore pourquoi la construction fut interrompue, et les rumeurs vont bon train. Que le site ait été hanté, qu’il soit devenu un repère de satanistes, envahi par des serpents venimeux ou pollué par un produit chimique toxique, toujours est-il qu’aujourd’hui, les lieux sont abandonnés et envahis par la végétation. Une visite délicieusement lugubre.
Sur les traces des gangsters américains
Parmi les formations rocheuses naturelles d’Hocking Hills, Ohio, Old Man’s Cave est considérée comme l’une des plus impressionnantes. Située au coeur des gorges qui traversent les merveilles de la région de Buckeye, la grotte est accessible par un court chemin de randonnée (moins de deux kilomètres) à travers bois et falaises. Un office du tourisme vous explique également d’où la grotte tient son nom. (Crédit photo: Jaknouse)
Sur les traces des gangsters américains
La prison rotative consistait en une roue géante, séparée en cellules individuelles, qui tournait sur elle-même pour ne permettre l’accès qu’à une seule cellule à la fois. Si la théorie partait d’une bonne idée, la pratique laissait sérieusement à désirer et, après de nombreux accidents, le concept fut abandonné. La prison rotative de Crawfordsville est le seul vestige du projet, ce qui fait d’elle une étape essentielle de notre parcours. (Crédit photo: Don O'Brien)
Sur les traces des gangsters américains
Pour clore notre itinéraire sur les traces des gangsters américains, offrez-vous un retour à l’époque d’Al Capone et de la mafia de Chicago avec un parcours sur le thème des intouchables. Découvrez les sites de fusillades célèbres et les catacombes de Chicago grâce à ce divertissement à mi-chemin entre spectacle et visite guidée qui vous emmènera visiter les repères de la pègre de la cité, à bord du « bus des gangsters », en compagnie d’acteurs en costume. On s’y croirait ! (Crédit photo: southie3)